Dans Le Parisien
Jacques
Delors invite ses homologues anglais à sortir de l’Union Européenne, et
rechercher une autre forme de partenariat, plutôt que de vouloir
entraver régulièrement son fonctionnement.
Le mieux, ainsi que le suggère « electron« , est encore d’envoyer les miséreux d’Europe se faire débiter chez les grecs:
« Delors est bien un socialiste….Il préfère
les pauvres comme l’Espagne , le Portugal ou la Grèce qui nous coûte un
max…..c’est ça la solidarité!!!…Les anglais paient leurs impôts pas
comme les grecs qui viennent réclamer misère….ils défendent bien
leurs intérêts…et ils ont raison …pourquoi en mettre toujours
plus […] »
Delors un socialo ? Tu débarques là ou quoi ? il est un des maitres d'œuvre de "Maastrich", il "préfère" pas les pauvres !! C'est quand même incroyable qu'il y est des gens qui racontent n'importe quoi pourvu que ça mousse un (tout) petit peu. Certes, il ne représente pas la réaction et les conservateurs les plus ultras d'une société fantasmée, mais son appartenance à "l'élite" et à la bourgeoisie font de lui un digne représentant du capitalisme (s'abstenant de contrer celui-ci). Après et bien sûr il y a toujours des haineux de la pauvreté – une endémie qui ronge l'humanité. Le plus sérieux de tout ça est bien que SEULE la solidarité peut sauver l'humanité (celle-ci étant une et indivisible où les frontières nationales ne sont qu'abstractions), pour le reste on patauge dans l'idéalisme petit bourgeois, voire dans celui de l'exclusion tout azimut de boucs émissaires présentés tels par les mass médias à la satisfaction de fractions de catégories sociales frustrées et lâches.
Plus concrètement, Delors propose que les anglais sortent un peu plus de l'UE, mais y ont-ils vraiment totalement été, non! Aussi la proposition enjoint en fait à rappeler aux sujets du royaume et à sa très gracieuse majesté qu'il n'y a QU'UNE voie politique de l'UE et qu'à ceux que ça ne plaît pas qu'ils aillent se faire mettre par les grecs.
Nous avons donc une vision dictatoriale – financière – de l'UE en guerre (économique) contre l'Asie, l'axe arabo-pétrole et évidemment l'Amérique, les anglais ayant un pied chez ces derniers et un dans l'UE sont en porte à faux, mais les motifs de tout ce bazar sont pour les dirigeants d'avoir des poches bien garnis et non de soulager les pauvres.
Pauvre niais !